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MOUEZH BREIZH, LA VOIX DE LA NATION BRETONNE

Actualités de cendres et de haines...


Rédigé le Vendredi 17 Mai 2024 à 10:14 | Lu 10 commentaire(s)



in War Raok ! - n° 57 - Avril 2020

Les actualités ressemblent à ces forêts en feux qui ne sont plus que la vision d’un monde qui ne cesse de s’autodétruire. Coup d’œil sur quatre faits, dans ce monde de cendres, de grisailles et de noirceurs.

Grisailles et noirceurs, comme les couleurs de ces forêts réduites en cendre, d’Amazonie, d’Australie, d’Afrique, d’Indonésie, d’Amérique, d’Europe. La faute aux changements climatiques ? Possible, encore faudrait-il qu’il y ait vraiment un changement climatique qui soit l’unique responsable de ces catastrophes qui font de nos forêts de terrifiants fours crématoires de la nature. Pour l’Australie, on estime, outre les pertes forestières, à près d’un milliard le nombre d’animaux, toutes espèces confondues, dont l’adorable koala et le kangourou, qui en sont les victimes emblématiques. Depuis des siècles, il y a eu, sur des durées plus ou moins longues, des changements climatiques touchant soit la terre entière, soit des régions particulières, question de cycles. De tout temps, le soleil a chauffé plus ou moins violemment la terre. De tout temps des forêts, des brousses, des savanes, le bush australien, les maquis et les landes ont brûlé sans que cela ne prenne des proportions de fin du monde. Si cela avait été le cas, il y a bien longtemps qu’il n’y aurait plus sur terre de couvertures végétales. En Australie les années 1974/75, ont connu des incendies bien plus importants, puisque 117 millions d’hectares furent ravagés. La nouveauté est davantage dans les incendies des forêts de l’hémisphère nord, comme en Suède, en Norvège, sans oublier les forêts de France, du Portugal, de Grèce. Ce qui est désormais préoccupant, ce sont leurs régularités annuelles, et qui ne doivent que fort peu au prétendu réchauffement climatique, mais beaucoup plus à la cupidité des hommes, à leur mépris de la nature. 2020, risque d’être une année d’incendies. En février dernier, la forêt, le maquis corse ont  brûlé. Or, partout où les forêts partent en fumée, il y a la part de la catastrophe naturelle, des imprudences de gens peu scrupuleux, mais aussi la part d’actions criminelles maffieuses, idéologiques. Jadis, la Monarchie ne plaisantait pas avec les incendiaires même involontaires : ils étaient envoyés aux galères, et en cas de préméditations et de mort d’hommes, ils étaient passibles de la peine capitale. Napoléon, dans son « Code » en reprendra les mêmes dispositions (1).  

Dans ces drames, on veut ignorer  les menaces terroristes. Pourtant, certaines de celles-ci sont très claires, « mettre le feu aux biens des mécréants » est un acte de guerre légitime. Aujourd’hui cela se traduit par les incendies de voitures, d’écoles, d’églises, mais bien des incendies sont aussi « inexpliqués ». Récemment, un média musulman appelé « Quraych », proche de l’État islamique a vociféré : « Déclencher partout des feux de forêts, en Amérique, en France, en Allemagne, en Grande-Bretagne, afin de provoquer des désastres écologiques, car cela leur fera du mal ! ». Les premiers appels datent d’avril et novembre 2019. Une question ! « Sommes-nous équipés pour surveiller nos forêts, nos champs, nos vignobles, nos élevages ? Comment l’Occident se prépare-t-il à lutter contre cet ennemi de l’intérieur ? (2) ». Nous pouvons aussi nous inquiéter pour nos monuments profanes et religieux, nos bibliothèques d’archives. Certes, nous devons faire la part de la fanfaronnade guerrière à celle du passage à l’acte, mais l’Histoire conflictuelle séculaire avec l’islam nous a appris que les affidés du « Prophète » savent attendre leur heure, et passent de la menace aux « travaux pratiques » dans des bains de sang, car tout acte guerrier sur les mécréants se fait au nom d’Allah …

Au fait, le sort des forêts, des animaux ne semblent guère préoccuper les écolos. Où donc étaient leurs voix devant cette tragédie de la nature ? Il est vrai qu’ils n’existent que pour servir de laquais aux lobbies de la « transition énergétique » et de l’immigration-invasion. 


L’islam, surtout n’en dites que du bien, sinon...

Sur un tout autre registre, « L’affaire Mila », cette jeune fille de 16 ans homosexuelle, ce qui est son problème, qui, agressée sur les réseaux sociaux de manière vulgaire par des « chances », leur a répliqué sur le même mode. En somme, la réponse de la bergère aux bergers. Oui, mais des bergers dopés à la haine coranesque, et qui n’ont pas apprécié que Mila n’ait pas vu dans leur religion « de la tolérance, de l’amour », un « produit » de fosse d’aisances, d’où de leur part une surenchère dans la grossièreté, assortie de menaces de mort directement tirées du Coran. La jeune fille avait, selon eux, blasphémé, elle méritait donc la mort, et s’ils avaient pu lui mettre la main dessus, ils l’auraient assurément violée et lapidée, suivant ainsi un précepte de leur Livre Saint : « Ô vous qui croyez ! Combattez ceux des mécréants qui vivent dans votre voisinage immédiat. Qu’ils éprouvent votre rudesse. Sachez qu’Allah est avec ceux qui le craignent (S. 9, 123) ». On ne s’étonnera donc pas de l’attitude des autorités musulmanes « françaises », déclarant que : « Mila l’avait bien cherché, et qu’elle devait assumer ses propos blasphématoires », la livrant ainsi à la haine vengeresse de musulmans fanatisés. Désavouer leurs compatriotes revenait à désavouer la sourate du Coran, la Charia. Les éructations haineuses de ce malade mental raciste qu’est le rappeur Nick Conrad est, sous une autre forme, conforme à cette sourate, lorsqu’il « chante » : « J’attrape une petite blanche, j’lui déchire l’anus … ». Comme le dit très justement Maître Jérôme Triomphe, l’avocat de « La Griffe » qui a porté plainte : « On sait l’influence de mimétisme meurtrier que de pareilles productions peuvent secréter sur certains individus ». Avec les attentats terroristes de fous d’Allah, on sait aussi ce que les sourates du Coran, qui invitent à tuer les « mécréants », peuvent engendrer de haine meurtrière, et cela renvoi à celle que nous venons de citer : « Que les mécréants éprouvent votre rudesse ! ». Où sont donc les protestations de la part des antiracistes, des féministes, des élus pour dénoncer et punir ce racisme, ces appels aux crimes ? Ne cherchons pas ! L’islam, par un de ses croyants, a menacé, donc on se couche, on se tait, cela a un nom : la dhimmitude…  

Cette « affaire » est doublement scandaleuse et très inquiétante : d’une part parce que aujourd’hui en Bretagne, en France, dans toute l’Europe des musulmans peuvent se permettre en toute impunité d’insulter, de menacer de mort, de brandir la Charia sur une jeune fille qui s’était très maladroitement aventurée sur un terrain explosif : critiquer l’islam. D’autre part parce que le gouvernement par la voix de la ministre de la Justice, loin de réagir et de sévir contre ces voyous, a estimé, reprenant presque mot pour mot les propos des autorités religieuses musulmanes, que « Mila avait bien cherché ses ennuis, et qu’elle devait en assumer les conséquences »… Que Madame Nicole Belloubet, ministre française de la justice ait ensuite reconnu une « maladresse d’interprétation » et présenté des « excuses », ne change rien à ce scandale, et n’assure en rien la sécurité de la jeune fille. Ce que révèle « l’affaire Mila », c’est qu’en 2020, en France, mais cela vaut pour tous les pays d’Europe, on risque sa vie si on a l’imprudence de critiquer l’islam, ses pompes et ses œuvres. Les audacieux qui s’y risquent doivent, comme Mila, s’exiler, se cacher. De même pour ceux qui ont le courage de se défendre d’une agression dont ils sont victimes, car la « Justice » protège les nouveaux barbares, et ces derniers le savent pertinemment. Des enfants, chrétiens ou juifs, doivent changer d’établissements scolaires en raison de l’intolérance islamique. Ainsi, le 14 janvier dernier, ce jeune garçon scolarisé au collège Marx-Dormoy (18e  arrondissement de Paris), qui fut agressé et tabassé par des « camarades » au seul motif qu’il portait au cou une petite croix. Sa mère raconte : « Sa croix, il la porte toujours sous ses habits, donc pas visible. Il commit l’imprudence de la montrer à une copine qui en porte aussi une. Peut-être a-t-il oublié de la cacher sous ses vêtements. En tout cas, une fois dans la cour, cinq élèves musulmans lui ont demandé d’enlever sa croix. Il a refusé, alors ils l’ont jeté à terre et frappé. Ils ne se sont arrêtés que quand mon fils s’est mis à pleurer ». Imaginons, que ce soit un jeune musulman qui ait subit le sort de ce petit chrétien, toutes les grandes orgues, les tubas, les tam-tams et tocsins médiatiques auraient donné à fond, les agresseurs sanctionnés, renvoyés, et les ennuis remontés jusqu’aux parents, des fois que cette petite croix cacherait un repère de néo-nazis, cathos de surcroît. Mais ce n’était qu’un petit chrétien, un petit mécréant, un petit blanc européen, donc sans plus d’intérêt que les enfants chrétiens persécutés en terre d’islam (3). Dans ce fait divers, il y a similitude avec celui de la jeune Mila. C’est donc bien un terrorisme islamique de la pensée qui se met insidieusement en place avec la complicité des élus, des médias, et malheureusement souvent du clergé, eux-mêmes terrorisés, préparant la voie à la loi islamique.

Tous les jours des chrétiens se font insulter, ridiculiser dans leur foi, dans ce qu’ils ont de plus sacré sans que cela ne provoque, sinon d’une minorité, de révoltes légitimes. Mieux, tous ces actes sont présentés comme de la liberté d’expression, de la poésie, de la belle littérature, de l’art, de l’humour, ou des incivilités d’après-boire, comme Charlie-Hebdo qui s’autorise dans presque tous ses numéros à traîner le christianisme dans ses caniveaux les plus abjectes. Mila n’a pas fait pire à l’endroit d’Allah, de Mahomet que n’a fait « l’humoriste » Frédéric Fromet sur France Inter, radio d’État, battant le record de l’abjecte le plus sordide sur le Christ, à côté duquel les propos de Mila sur l’islam sont des bluettes de gamines. On ne sache pas que cet individu ait été désavoué, qu’il ait été menacé de mort par quelques chrétiens exaspérés, et on ne peut que s’en réjouir pour lui. Pourtant, le député du Modem, Nicolas Turquois, idiot utile dhimmitisé et menteur, a osé dire : « Si une personne avait tenu les mêmes propos que Mila à propos de la religion catholique, elle aurait reçu les mêmes menaces ». Non, Monsieur ! C’est justement parce que ces lamentables bouffons de la scène ne craignent rien des chrétiens, qu’ils peuvent se permettre de blesser leur foi. Prudents, lâches, ils ne se risqueraient pas à la mésaventure de Mila, en égratignant le « prophète » et sa religion. La leçon du massacre de la rédaction de Charlie-hebdo a porté, du moins en ce qui concerne l’islam, là on ne fanfaronne plus, et les pitres de l’estrade, du petit écran, de la caricature scatologique multiplient les courbettes et les salamalecs. 

En février dernier, un stupéfiant fait divers, passé bien évidemment sous silence, a eu lieu à Agde (Hérault) : un nommé Quentin. B, converti à l’islam a pénétré dans une maison et a tenté d’enlever une fillette de 11 ans. Il voulait l’épouser, et, bien sûr, en faire une bonne musulmane, désirant, dira-t-il  « imiter  Mahomet », qui âgé de 60 ans, se maria avec Aïcha, une fillette de … 6 ans. Ce dangereux individu ne faisait que se conformer au Coran, aux Hadîths (paroles et actes) de Mahomet qui autorise de se « marier » avec des fillettes. Des mœurs approuvées par les plus hautes autorités musulmanes, puisqu’elles se réfèrent au « Beau modèle », le prophète. Rappelons que les enlèvements de fillettes, de jeunes filles chrétiennes sont des pratiques courantes dans des pays comme le Pakistan. Ces « affaires », si rien ne vient remettre de l’ordre, en disent long sur notre futur. Oui ! Nos enfants, nos filles sont réellement en danger, et pas seulement avec des obsédés sexuels « bien de chez nous », amateurs de « chairs fraîches ». 


Quand vos filles seront lapidées en place publique

Au début des années 1990, le célèbre prêtre charismatique Daniel Ange, devant la progression des actes antichrétiens de toutes natures, devant des lois qui défiaient constamment le Décalogue, devant la déchristianisation, et qu’en parallèle l’islam progressait partout, imposait ses mœurs, sa foi, sa loi nous prévenait : « Un jour viendra où vos femmes, vos filles seront traînées sur la place de la Concorde, et pour n’importe quel motif  lapidées. Alors, vous  regretterez ce bon vieux christianisme que vous aurez par vos incessantes critiques, vos lâchetés, vos reniements tant contribué à éradiquer, mais il sera alors trop tard ! ».      

Beaucoup d’auteurs d’ouvrages sérieux, mais aussi de militaires qui savent de quoi ils parlent, nous annoncent depuis vingt ans que nous nous acheminons irrémédiablement en Europe vers une guerre civile généralisée, la plus terrible des guerres. L’ancien ministre de l’Intérieur français, Gérard Colomb, en démissionnant de son ministère, n’hésita pas à dire : « Jusqu’à présent nous vivons côte à côte, nous allons bientôt vivre face à face ! ». Lui aussi savait de quoi il parlait. C’était la négation même de l’idéologie du « bien-vivre-ensemble ». Le roman « Guérilla, le jour où tout s’embrasa », de Laurent Obertone (4), s’il est une fiction, peut très vite, comme le roman de Jean Raspail « Le camp des saints » devenir une réalité. Nous sommes dans un climat qui prépare cette guerre, cela commence par des mots, des injures et ensuite ce sont les armes qui parlent. A moins que, autre scénario, les Européens dévirilisés, se reniant en tous domaines, ne capitulent sans même avoir combattu, et accepte l’islamisation qu’ils auront tant contribué à installer : « Dans vingt ans, la France sera une République islamique » (5), mais probablement aussi toute l’Europe, reconstituant le Califat si cher au président turc Erdogan, nostalgique de l’Empire Ottoman.

L’immigration n’est pas une « chance » pour l’Europe, mais son malheur, une chance inouïe pour l’islam, c’est certain, elle est son sabre, un véritable don d’Allah : « Nous vaincrons avec les ventres de nos femmes ! ».

Que conclure, sinon par ce constat inquiétant que : feux de forêts, destructions de notre environnement, de nos paysages, de nos traditions, de la famille, de la vie de sa conception à la mort, destruction de la vérité, du beau, du sacré, insécurités de toutes natures, suppression de toutes libertés d’expressions ont un dénominateur commun : la décadence morale, culturelle, spirituelle de l’Europe, son refus de la vie, la haine de soi, autant de maux qui engendrent un auto-suicide général, et l’asservissement futur. Autant de maux qui font le jeu de l’islam. Cette dernière le sait parfaitement, ayant depuis longtemps pris la mesure de nos faiblesses, de nos lâchetés, de notre décadence, et pouvant compter sur une armée de félons : « Nous vous envahirons avec vos lois, nous vous dominerons avec les nôtres ! ». Ou encore « Nous aurons la France par son système social, ses lois. L’Occident  crèvera de la main de l’Islam ! Ramassis d’impurs, de chrétiens, de juifs. Nous sommes là pour pourrir votre race, pour vous apporter le malheur, la mort, le feu. Préparez vos cercueils, car il y aura une Guerre Sainte, et nous ferons le procès de Nuremberg de l’Occident ! » (6). Tels sont les avertissements, parmi des centaines d’autres, que les guerriers d’Allah, actuellement en complet-veston, demain en treillis militaire, nous servent. Nous sommes prévenus, mais nous ne les prenons pas au sérieux !

Au nom de l’antiracisme et du soporifique « bien vivre ensemble », nous n’avons pas le droit de nous défendre, pourtant au nom de nos enfants, c’est bien ce qu’il va falloir envisager sérieusement, sans quoi  demain, ils auront toutes les raisons de nous maudire …  

Erwann Houardon.                                                                                                


Sources :

1) Décret Royal du 13 novembre 1714.

2) Site Riposte Laïque. Bernard Dick.

3) Cité par le site Boulevard Voltaire, l’Observatoire de la Christianophobie, Valeurs Actuelles, l’Association La Griffe…et Libération.

4) « Guerilla » de Laurent Obertone (2 volumes). Ring Editions. 2016 et 2019.

5) Déclaration du Cheikh Hussein Moussawi, guide spirituel du Hezbollah libanais (interview au « Matin », 1988).

6) Déclaration de Fouad Ali Saleh, terroriste d’origine tunisienne, au juge Gilles Boulouque à son procès en janvier 1990. 




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