in War Raok ! - n° 50 - Décembre 2017
Nous avons tous le souvenir, dans la mesure où nous avons accepté d’ouvrir les yeux et de comprendre, des viols orchestrés lors de la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne, en 2017, été choqué de ce qui pouvait s’apparenter à des actes de guerre, façon « repos du guerrier » qui dispose des femmes des vaincus. Nous avions alors appris que les autorités allemandes, plus que jamais soucieuses de se vautrer dans le statut qu’elles chérissent tant de peuple vaincu « Ad vitam aeternam », castré et soumis, précipitant le peuple allemand dans un gigantesque suicide national, firent tout pour occulter, nier, minimiser, excuser ces agressions sexuelles. Du même coup, on apprit que la Suède, la Norvège, la Grande-Bretagne et quasiment tous les pays d’Europe confrontés à une immigration-invasion imposée, voyaient leurs femmes, leurs filles de tous âges être les proies sexuelles de toutes ces « chances » conquérantes et prédatrices, qui s’affichent avec ostentation dans nos cités, nos paysages les plus reculés. Bien évidemment, la France déclarée elle aussi « terre d’asile, ouverte et généreuse » avait son lot quotidien d’agressions occultées, minimisées. Là encore la loi du silence fût imposée, car il ne fallait pas faire d’amalgames, ne pas stigmatiser les « réfugiés », les « jeunes », cette richesse qui nous arrivait. On nous fera remarquer que les agressions sexuelles, les viols sont aussi le fait de gens bien de chez nous, et ne sauraient donc être le monopole d’allogènes. Nous en convenons, la libido qui s’énerve appartient à tous les peuples, mais là n’est pas la question. La question est de savoir pourquoi ces nouveaux venus se comportent ainsi, comme si agresser les femmes du pays « d’accueil » était une chose normale, voire un droit que motive des traditions d’ordre culturelles, religieuses.
S’il est un pays qui devrait rejeter, dénoncer avec force et horreur les viols des femmes, c’est l’Allemagne. Aurait-elle oublié les millions de femmes de tous âges, notamment les cent mille berlinoises violées, puis souvent tuées par la soldatesque bolchevique, excitée par une propagande qui appelait à salir, humilier la femme allemande. Les armées Alliées ne furent pas non plus exemptes de tels crimes. On nous dira que les soldats allemands n’étaient guère mieux. Ce qui est faux, car le viol était puni de mort dans la Wehrmacht et la S.S. Si des viols furent commis, ils le furent par des soldats d’origines russo-asiatiques, souvent d’ailleurs musulmans.
A Landerneau, en 1942, un jeune soldat viola la fille d’une ferme. Les parents se risquèrent à porter plainte à la Kommandantur. Le soldat fut immédiatement arrêté, passa en conseil de guerre, et fut condamné à être fusillé. Apprenant cela, les parents de la jeune fille, et la jeune fille elle-même, tentèrent d’intervenir pour que la sentence soit annulée, et changée en une autre punition, émus qu’ils étaient par la jeunesse du soldat qui avait le même âge que leur fils. En vain, le commandant fut inflexible, le jeune soldat fut passé par les armes le lendemain, pour l’exemple, car il avait déshonoré son uniforme et l’armée de son pays. On peut reprocher beaucoup de choses à l’armée allemande, mais pas de s’être comportée en une soldatesque de violeurs. Cette affaire est authentique, ma famille en fut témoin.
Misère sexuelle des « chances »
Du viol des femmes au viol des patries
C’est le « Beau modèle » qui l’a dit, donc …
Après chaque drame, les politiciens qui nous « gouvernent » se croient quitte lorsqu’ils nous ont fait part de leur « émotion », de leur « horreur », émotions très sélectives d’ailleurs, comme si elles étaient « côtées » en bourse suivant la qualité des victimes. Le Pape François qui n’est plus à une contradiction près, et semble aimer dérouter, scandaliser les chrétiens, gardant davantage ses sollicitudes aux musulmans qu’à ses ouailles, s’est surpassé en déclarant : « Toujours faire passer la sécurité de la personne immigrant avant la sécurité nationale ». Autrement dit, et à analyser cette phrase surprenante, la sécurité nationale, c’est-à-dire la sécurité d’un pays constitué de personnes à qui l’Etat se doit d’assurer la sécurité collective et individuelle, passe après la sécurité des immigrés qui se déversent par vagues subversives chez nous, et contribuent pour une bonne partie à l’insécurité. Qu’un tel propos enthousiasme tous les immigrationnistes comme le directeur de Ouest-France, François Régis Hutin, toujours à la pointe de son humanisme pleurnichard (éditorial du26/8/2017, « La personne passe avant la société »), soit, mais nous qui avons l’amour de nos patries, et l’inquiétude pour leur devenir, nous ne pouvons qu’être accablés. Le Pape se fait ainsi le fourrier de l’invasion, le fossoyeur de l’Europe, de la chrétienté. Il sera sans doute heureux le jour où l’islam conquérant, ayant pris Rome comme Constantinople, la basilique Saint Pierre comme Sainte Sophie, et que nos femmes, nos filles seront violées sur les autels profanés. L’islam qui ne cache plus rien de ce projet guerrier, n’en demandait, pour l’instant, pas tant.
Fiction ? Non ! Relisons le célèbre roman « Le Camp des Saints » de Jean Raspail, qui est passé du roman-fiction à la réalité d’aujourd’hui. Relisons les Prophéties de Saint Malachie, jamais démenties par l’Eglise. Devant le scandale de cette déclaration, et l’interprétation qui en a été faite, des prélats ont tenté de nous expliquer qu’on avait mal compris le Saint Père. Non, nous l’avons très bien compris, et nous savons depuis son élection au Siège de Pierre où vont ses préférences. Philippe de Villiers a parfaitement analysé le propos du pape : « Cette phrase est incompréhensible. Le pape abolit toute possibilité de régulation des flux migratoires. Jusqu’à présent, les Etats avaient une justification régalienne : c’était la sécurité nationale qui garantissait la sécurité personnelle. Le pape opère donc un renversement complet, qui ressemble à une prime à l’anarchie ». Et Philippe de Villiers d’ajouter : « Il inaugure une nouvelle théologie mondialiste mortifère pour l’Europe. On dirait que François veut punir l’Europe ». On comprend qu’il soit le pape d’Angela Merkel, de Macron, de Juppé et de tous les immigrationnistes islamophiles. Mais que le Saint Père aille donc susurrer sa « théologie de l’immigration » aux familles des victimes de toutes les « chances pour l’Europe » qu’il chérit tant, comme viennent d’être victimes, Laura et Maurane, deux belles jeunes filles assassinées au nom de la « religion d’amour, de paix et de tolérance », et comme le furent bien d’autres avant elles, et comme le seront inévitablement d’autres. Les familles sont laissées à leur chagrin, et nos collabos de l’islam poursuivront leurs criminels projets, détruire l’Europe en la souillant, comme on souille le vaincu en prenant ses femmes et profanant ses sanctuaires.
Indépendamment des viols en général, qui répétons-le ne sont pas l’exclusivité des allogènes « accueillis », les drames qui nous déplorons aujourd’hui ne viendraient pas s’y ajouter, si les portes de l’Europe, de l’Occident n’avaient pas été ouvertes à l’invasion. Ayons conscience que, viols, métissages relèvent du même but, dissoudre le substrat européen dans une bouillie humaine contre-nature, et avec lui toute notre civilisation. Il y a donc là multiplicités de crimes. Une civilisation qui déjà, par des lois criminelles, viole le sanctuaire de l’enfant à naître en l’y assassinant, est mûre pour accepter le viol de ses femmes, de ses fillettes …
On ne combattra pas ce terrorisme, comme tous les autres, en refusant de nommer l’ennemi, en lui opposant des marches, des fleurs, des peluches et autres doudous, des slogans débiles, mais par le seul langage que ces guerriers d’Allah et du prophète comprennent et respectent, la force virile, dussent les grands principes des droits de l’homme, de la démocratie et de l’Evangile être écornés. Il est intolérable que désormais le maire, la gendarmerie de votre ville, de votre village puisse un jour venir sonner à votre porte, et vous dire : « Bonjour Madame, je viens vous informer que votre fille, a été violée, égorgée, éventrée il y a une heure dans le parc où elle se promenait ». Une telle tragédie peut du jour au lendemain s’abattre désormais sur n’importe quelle famille, car nous sommes dans la banalisation du crime islamique. Les politiciens qui « gouvernent » l’Europe, le pape par ses propos irresponsables, qui n’ont rien à voir avec l’Evangile du Christ, mais sont pure démagogie idéologique, sont directement responsables de ces crimes. On ne laisse pas les criminels pénétrer dans la maison sans prendre de risques. On ne laisse pas les barbares entrer dans la cité, s’y multiplier, répandre et imposer leurs mœurs, leur religion débile et criminogène sans qu’un jour on en vienne à payer au prix fort notre imprudence, notre angélisme, notre stupidité, nos trahisons. Mais viendra aussi le jour où nos petits-enfants nous haïrons pour leur avoir préparé l’Enfer musulman, dans les ruines de nos patries, de notre civilisation …
Erwan Houardon