in War Raok ! - n° 51 - Mai 2018
Parmi ces problèmes, nous nous limiterons principalement à l’étude de deux d’entre eux. En premier lieu la menace de voir disparaître notre propre identité bretonne, puis, par voie de conséquence à cette véritable « colonisation de peuplement », l’insécurité et les multiples violences orchestrées dans l’Europe entière.
La Bretagne est depuis plusieurs années confrontée à une progression inquiétante de violences urbaines, violences liées sans conteste à des populations extra-européennes et à l’arrivée de migrants clandestins. Les faits divers sont suffisamment nombreux et avérés qu’il serait ridicule de nier cette évidence.
Concernant la Bretagne, il est impératif de conduire une réelle et efficace politique de sécurité. En effet, la sécurité doit être la première des libertés pour les Bretons et les Bretonnes et nous ne pouvons plus accepter que dans des villes comme Rennes, Nantes, Brest … les zones de non-droit prolifèrent, les quartiers « à risque et sensibles », ces cités interdites où les bandes ethniques font la loi et font régner la terreur, se développent en toute impunité, sans oublier les centres-villes où la violence est aujourd’hui omniprésente. Autre évolution, et non des moindres, ces violences gagnent maintenant les zones rurales.
Dans ces domaines si sensibles de l’insécurité, de l’immigration, dont les Bretons perçoivent parfaitement qu’ils sont liés, notre peuple n’est pas dupe et n’écoute nullement les élucubrations et le matraquage éhonté auquel se livre la caste politicienne. Est-il nécessaire de rappeler que l’immigration de masse, incontrôlée, n’est et ne sera jamais une chance pour la Bretagne ! C’est au contraire une catastrophe, une véritable catastrophe politique, démographique, sécuritaire, économique, environnementale, identitaire… Une catastrophe pour nos libertés, notre identité. Alors, Bretons, Bretonnes, il est temps de rappeler ces faits, dans toute leur réalité, dans toute leur brutalité, sans haine mais sans concessions aux convenances de la bien-pensance.
La Bretagne n’a jamais été une terre d’immigration. C’est une cynique invention et la Bretagne a eu une population aux composantes toujours stables. Les rares vagues d’immigration se sont limitées à une immigration d’individus facilement assimilables en quelques générations parce que de même civilisation, de même religion et européens (Polonais, Italiens, Portugais). Avec l’immigration actuelle, immigration de masse, il n’est plus question d’intégration car si la Bretagne a su intégrer des individus européens, elle ne peut intégrer des peuples, des ethnies appartenant à des civilisations totalement étrangères à la nôtre, très souvent hostiles sans oublier la présence omniprésente de la religion, cet islam conquérant, guerrier et incompatible avec notre civilisation.
Comment un peuple comme le nôtre, fort d'une histoire millénaire, peut-il accepter passivement de se laisser ainsi submerger ? Nous sommes des citoyens épris de liberté, très inquiets aujourd’hui de l’avenir de l’identité bretonne et nous ne pouvons accepter cette propagande totalitaire, menée avec persévérance depuis plusieurs années, qui s'applique à anesthésier l'opinion bretonne et l'empêche de prendre conscience de ce drame qui se joue aujourd'hui. Cette mise en œuvre de l’idéologie cosmopolite, cette immigration de peuplement sont propres à modifier notre identité bretonne et menacent tous les peuples européens d’un génocide par substitution. L’utopie multiculturelle véhiculée par d’irresponsables politiciens porte un faux nom, à savoir l’expression passe-partout « culture de bienvenue ». Ce vocable n’a rien à voir avec la traditionnelle culture de l’hospitalité. L’idéologie du multiculturalisme est en fait devenue une forme de légitimité négative dans toute l’Europe.
Mais ces violences perpétuées sur le sol breton par des populations étrangères refusant toute intégration ne nous font pas oublier les crimes et délits commis par les membres de notre propre peuple ou par des Européens résidents en Bretagne. Dans le cadre d’une Bretagne souveraine, l’Etat breton devra rapidement rétablir l’ordre et mettre ainsi l’autorité au service de la liberté. Pour garantir une réelle sécurité, des mesures drastiques s’imposeront, sans omettre d’œuvrer à la prévention des délits et des crimes. Tout délit devra être sanctionné et puni en conséquence. Il ne faudra pas hésiter à renforcer la chaîne de la répression, véritable dissuasion afin de convaincre le délinquant d’une réelle et effective sanction pénale. L’institution judiciaire bretonne devra restaurer cette notion de peine et faire appliquer toutes décisions de justice dans le délai légal prévu. Il va de soi que tous délinquants et criminels étrangers seront expulsés après avoir purgés leur peine et déchus de la citoyenneté bretonne pour ceux l’ayant acquise.
Enfin, pour assurer une réelle sécurité, création d’une police bretonne, dotée de moyens modernes et efficaces. Cette police pourra, en cas de troubles graves, être renforcée par une Garde Nationale Bretonne, garde composée de volontaires et de réservistes bretons.
Il s’agit là d’un bref aperçu des mesures à prendre. Deux thèmes traités dans ce rapide texte mais d’autres, plus détaillés, devront suivre afin de présenter au peuple breton les orientations majeures et les projets réalistes qui permettront à la Bretagne de renaître.
Meriadeg de Keranflec’h.