Slogan fallacieux pour une masse d’imbéciles ayant basculée dans une hystérie collective !
Un commando de deux hommes cagoulés et puissamment armés abat froidement onze personnes dont quatre dessinateurs vedettes au siège de la rédaction du journal « Charlie Hebdo ». Puis dans sa fuite tire sur un policier et l’achève d’une balle dans la tête… Le commando s’enfuit et s’évanouit tranquillement dans la nature. Scène surréaliste ! Scène d’horreur ! Bien évidemment, je ne peux pas cautionner cet acte odieux et je condamne sans réserve ce lâche assassinat commis par les « fous d’Allah ».
Dès la nouvelle connue, c’est l’hystérie générale, l’artillerie lourde médiatique, les déclarations enflammées des politiques, des autorités morales et religieuses… bref les logorrhées habituelles des professionnels de la compassion. Personnellement, en aucune façon, je n’ai participé à cette hystérie collective. La vérité, c’est que « Charlie Hebdo » n’a jamais été, pour moi, un journal satirique défendant la liberté d’expression, mais un vulgaire torchon ordurier ne respectant rien ni personne distillant une véritable haine à longueur de pages. Son plaisir était de blesser, d’offenser, de choquer. N’était-ce pas le mot d’ordre, la ligne éditoriale ? Les quatre dessinateurs assassinés véhiculaient généreusement des idées nihilistes, anarcho-trotskistes, faux rebelles mais véritables « bobos » libertaires. Ces gens là se vautraient dans l’abjection… Ils ont eu une mort abjecte.
Leur publication, utilisant la provocation, le blasphème et autre sacrilège, était loin d’être un aiguillon révolutionnaire, mais plutôt un parfait support et outil du système en place. Ces gens, qui pendant des années, ont semé le vent de la discorde ont malheureusement moissonné la tempête. Je vous conseille de consulter le curriculum vitae des quatre dessinateurs ! De vous reporter à certains articles concernant la Bretagne et notre combat ainsi que le texte infâme publié lors du décès de notre grand patriote Yann Fouéré. N’est-ce pas Charb qui déclarait également après le piratage du site du journal au mois de septembre 2012, que « le seul problème en France c’était l’extrême-droite catholique et non l’islam ! ». On a vu malheureusement la suite des évènements. Les soutiens les plus inconditionnels, tout ce beau monde nourri des valeurs républicaines françaises, découvrant soudain la dangerosité du fanatisme islamique ! Ne sont-ils pas responsables de ce carnage, eux qui ont toujours soutenu l’accueil de millions de gens étrangers à notre culture et notre civilisation européennes et dont la majeure partie d’entre eux refuse de s’intégrer pour la bonne raison qu’elle demeure fidèle aux fondamentaux de l’islam ? Depuis plus de quarante ans ils ont encouragé cette immigration. Et que penser des déclarations de ces pauvres ministres français, de droite comme de gauche, qui prétendent soudainement combattre le terrorisme islamique alors que leurs gouvernements l’ont encouragé ailleurs, quand ils ne l’ont pas fait naître par leur politique suicidaire en Libye, en Irak, en Syrie. Une autre attitude est insupportable : celle des hommes d’église (1) les plus haut placés qui se rangent derrière tous ces hypocrites de la liberté d’expression assassinée…
Le coran c’est compliqué de s’y attaquer ! L’interdire, au motif qu’il contient trop d’incitations au meurtre et à la haine, ce serait une source de troubles à l’ordre public ! Voilà le genre de propos tenus par ces irresponsables politiques et religieux…
Les tueurs, eux, en ont profité. Ils ont lu le coran et ils l’ont appliqué.
Jelvestr Le Cloarec.
Notes :
(1) : Son Excellence, Monseigneur de Paris, a fait sonner le glas à Notre Dame.