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LE MARIAGE, LA FAMILLE, VOILÀ L’ENNEMI...


Rédigé le Mercredi 24 Avril 2024 à 17:34 | Lu 7 commentaire(s)


IN WAR RAOK ! - N° 37 - Mai 2013


LE MARIAGE, LA FAMILLE, VOILÀ L’ENNEMI...

Pour toutes les dictatures, la famille a toujours été un ennemi de l’intérieur, car elle représente tout ce que ces régimes haïssent le plus, un esprit d’indépendance lié à l’héritage d’un enracinement.  Raison suffisante et rebelle pour contrer leurs idéologies destructrices. La famille doit se soumettre ou disparaître, c’est le célèbre cri de haine d’André Gide, « Famille je vous hais ».

 

Nous ne reviendrons pas sur la querelle des chiffres concernant l’imposante « Manifestation pour Tous » du 13 janvier, opposée au « Mariage pour Tous » pour les homosexuels, et toutes les dérives qui y sont liées, (procréation médicale assistée, adoption, négation de l’identité du père, de la mère, etc.).  Lorsque paraitra cet article, le sujet aura encore évolué, et d’autres manifestations auront eu, ou auront lieu, probablement en vain, puisque le gouvernement entend passer outre. Cette affaire révèle la vraie nature de la « démocratie à la française », crispée sur ses « valeurs républicaines » destructrices, une « démocratie » qui n’est plus, sauf pour les naïfs désespérément aveugles, que le cache-sexe d’une authentique dictature incarnant toute la « vieillesse d’un monde atteint de sénilité ». « Nos » gouvernants n’ont que faire de l’avis du peuple, surtout quand celui-ci « pense mal ». Qu’il manifeste, qu’il pétitionne à tout-va, que leur importe, ce ne seront que des non-évènements. Le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), organisme aux ordres, a déclaré irrecevables les  700.000 signatures de la « Manifestation pour Tous », ce qui constitue un déni de démocratie évident.

Dans le numéro 25 de War Raok nous avions consacré un dossier, « La famille, cellule originelle de la vie sociale ». Nous écrivions

« La famille est le berceau de la société civile, et c’est en grande partie dans son enceinte que se prépare la destinée des nations. L’importance de la famille pour la vie et le bien-être de la société entraîne une responsabilité particulière de celle-ci dans le soutien du mariage et de la famille. Le pouvoir civil considère comme un devoir grave de reconnaître et de protéger la vraie nature du mariage et de la famille, et de favoriser la prospérité des foyers. En s’attaquant à la famille, les idéologues s’attaquent aussi à la société, on est dans la logique révolutionnaire ».

C’était en 2008, il n’a pas prit une ride, car nous allions au cœur du problème, à savoir les vertus sur lesquelles se fonde une famille, vertus intangibles qui sont étrangères aux modes et aux idéologies. Et qui dit famille, dit, parce que c’est la loi de la nature, union d’un homme (l’époux, le père) et d’une femme (l’épouse, la mère) dont la vocation première est d’avoir des enfants. Et qui dit enfants, dit héritiers. La famille par la filiation intergénérationnelle fait de ses enfants les héritiers d’un triple héritage : physique, par quoi on reconnaît que les enfants sont à l’image de leurs parents, mais aussi du peuple auquel ils appartiennent, et pas d’un autre, héritage culturel et spirituel, et cet ensemble harmonieux, fruit d’une saine éducation, d’une saine écologie familiale débouche sur la Patrie. Patrie, voilà bien le cœur du problème, l’obsession destructrice de nos idéologues. L’apatride Rockfeller disait que « le dernier verrou à faire sauter était la patrie », les lois mortifères contre la famille, l’institution traditionnelle du mariage, sont précisément les meilleures armes pour y parvenir, car la famille est le premier verrou à faire sauter, le dynamitage de la patrie ne peut que suivre.

On nous dira que de l’institution du mariage, qu’il soit civil ou religieux, il ne doit plus rester grand chose à « faire sauter », et que cette institution est aujourd’hui obsolète. Evidemment, quant on voit le nombre de divorces, de familles « recomposées », mêmes dans les unions qui semblaient répondre à toutes les garanties de stabilité, quant on voit que le concubinage devient la norme chez les hétéros, que les mères célibataires deviennent la banalité, que nos « élites », chef de l’état en tête, donnent le mauvais exemple, il faut bien admettre que l’institution a déjà volée en éclats, et que la page du mariage traditionnel peut-être aisément tournée. Et puis, faut-il vraiment passer par le mariage pour être heureux et garantir la pérennité du couple, de la famille ? La question peut se poser.


Apolitique et non-confessionnel ? En est-on si sûr ?

« La Manifestation pour Tous », afin de rassembler toutes les sensibilités s’est voulue apolitique et non-confessionnelle. Mais ne soyons pas naïf, car ce problème de société créé de toute pièce, comme s’il n’y avait rien de plus urgent à résoudre, est un problème politique, orchestré par des politiciens, doublé d’idéologues pervers dans tous les sens du terme. Ce problème est aussi religieux, car malgré tous les artifices pour le nier, le mariage est dans sa nature profonde un acte religieux, et qui dans sa version civile,  n’en est que l’impersonnel décalque. D’ailleurs, les partisans du « Mariage pour Tous » ne s’y sont pas trompés, leurs slogans étaient bien l’expression d’une haine anti-religieuse, et qui visait uniquement  l’institution du mariage chrétien qui est d’ordre sacramentel. Leurs slogans se voulaient  « humoristiques », du genre, « Marie, première mère porteuse », des Christs en croix : « Jésus avait deux papas », des portraits de Benoît XVI en chapeau rose, sous-titré « Reine de l’homophobie », ou encore « Fuck God », « Les curés au diocèse, nous on baise », « On est pédés mais pas curés, pas de danger pour les mouflets », et nous vous épargnons les slogans les plus salaces à l’encontre de l’Eglise, mais qu’ils n’auraient jamais oser lancer contre l’islam et le judaïsme. Voilà donc pour la manif « bon enfant » et « non-confessionnelle » des partisans du « mariage gay », de la procréation assistée et de l’adoption d’enfants par les « couples » en question. Sans oublier les manifestations des « Femens » qui seins nus n’ont pas hésité à profaner la cathédrale Notre-Dame de Paris, et d’y vomir leur haine anti-catholique, anti-pape, anti-curés sans que cela trouble les autorités, et en particulier Manuel Valls, ministre des cultes. Evidemment, une cathédrale ce n’est pas une mosquée (pas encore…), on peut donc tout y faire. D’ailleurs, aucun risque que ces tricoteuses dignes héritières  de celles qui sévissaient au pied des échafauds de 93 ne se risquent à exhiber leurs « avantages » dans une mosquée et y hurler leurs blasphèmes, elles en ressortiraient sous formes de …lasagnes (hallal ?…).
Les organisateurs de « La Manifestation pour Tous » se sont félicités qu’ils rassemblèrent au-delà des confessions, car tous défendaient les mêmes valeurs dans le mariage. Sans doute, mais qu’il soit permis de s’interroger sur les  « valeurs » de l’islam dans le mariage, et si « faire un bout de chemin ensemble » ne ressort pas, une fois de plus, d’un angélisme naïf. Un lecteur du très documenté bulletin « Les 4 Vérités » (1), écrit lucidement

« Etrange, la discrétion des musulmans sur le « mariage pour tous ». Ils se terrent, silencieux, au bord du fleuve, où selon le proverbe chinois, ils espèrent un jour « voir passer le cadavre de leur ennemi ». Saigné dans sa chair, par 37 ans d’avortement légalisé, aboutissant à un total de plus de 8 millions de jeunes vies en puissance détruites, notre peuple se préoccupe désormais de promouvoir des unions hédonistes et stériles par nature (2). Deux comportements sociaux que l’islam réprouve. Les islamistes radicaux attendent simplement le moment où la dynamique naturelle, voire polygame, pourra submerger le monde, et où l’application de leur loi « religieuse » leur permettra d’éliminer socialement, sinon physiquement, ceux qui ne s’y conformeront pas… ».

L’islam, tout comme le judaïsme, le christianisme, condamne l’homosexualité. Le Coran dit, « Si deux d’entre vous commettent une action infâme, sévissez contre eux » (Sourate IV, verset16), ou encore « Vous vous livrez à cette abomination que nul, parmi les mondes, n’a commise avant vous ? Vous vous approchez des hommes de préférence aux femmes pour assouvir vos passions. Vous êtes un peuple pervers, dégénéré » (Sourate VII, V. 80-81). On comprendra le mépris que les musulmans peuvent porter sur notre civilisation, nos hommes et femmes politiques. Mais on aurait bien tort de nous montrer l’islam comme un modèle de vertus, la tolérance de l’islam pour l’homosexualité est reconnue depuis longtemps ; « Déjà au XIXème siècle, de nombreux Occidentaux allaient en Afrique du Nord à la recherche d’aventures homosexuelles que leur société leur interdisait, une homosexualité si répandue et tolérée en terre d’islam, et à un degré qui aurait été inconcevable dans l’Occident chrétien » (In Warraq, dans « Pourquoi je ne suis pas musulman »). Ajoutons que la littérature arabe qui vante les plaisirs de l’homosexualité masculine et féminine est très riche, l’œuvre la plus célèbre étant « Le Jardin parfumé » qui exalte avec force détails érotiques les relations entre personnes du même sexe. Quant au Coran, malgré les sourates qui condamnent ces relations contre nature, il promet à ses Croyants, au Paradis d’Allah, « Des éphèbes immortels circuleront autour d’eux. Tu les compareras, quand tu les verras, à des perles détachées. Ces garçons n’ont-ils pas pour fonction de servir les bienheureux offerts à leur concupiscence ? » Sourate LXXVI. 19). Et nous pourrions en citer bien d’autres qui révèlent toute l’ambiguïté de l’islam sur la question.
Le Christianisme et le Judaïsme sont très clair, et leur référence est la Genèse, « Dieu créa l’homme et la femme, et il contempla toute sa création, il vit que c’était vraiment très beau ». Et à l’encontre des Pharisiens qui demandaient au Christ s’il était permis de renvoyer sa femme, il leur répondit : « N’avez-vous pas lu que le Créateur des êtres humains, au début du monde, les créa homme et femme, et dit : A cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère pour s’attacher à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’une seule chair. Ce que Dieu a uni, l’homme ne doit pas le séparer » (St Matthieu, Chapitre 19). On pourrait ajouter, « Que l’homme ne doit pas unir ce que Dieu a séparé ». Certains diront qu’il s’agit là d’une croyance qui n’est pas partagée par tout le monde, mais là n’est pas la question. Un peu de réflexion nous montre que derrière toutes créations il y a forcément un créateur, c’est l’histoire de la montre qui sous-entend qu’il y a eu un horloger pour qu’elle soit, et ainsi pour tout ce qui existe en ce monde. On ne voit donc pas pourquoi la Création, dont l’homme et la femme font partie, échapperait à un créateur, qu’ils seraient le fruit d’un hasard sorti du néant, or on sait que le néant par définition ne crée rien, sinon il cesse d’être le néant, et cela renvoi à un….Créateur…


Un changement de civilisation.

 

Madame Taubira nous l’a dit, « Oui, c’est un changement de civilisation » qu’il s’agit de provoquer de manière irréversible par cette loi qui se donne pour vocation de détruire le mariage. Il est bien évident qu’une société qui ne reposerait plus sur la famille comme cellule de base serait profondément différente de tout ce que nos ancêtres ont connu. « Le gouvernement actuel, depuis son arrivée au pouvoir, ne cesse, à une vitesse effroyable, de prendre des mesures anti-vie, anti-famille, bafouant jusqu’à la liberté la plus élémentaire : l’objection de conscience de chacun. Avec une détermination sans faille, glaciale, nous assistons, non sans nous battre, à un programme de destruction massive de notre société » (3). « Changer de civilisation », mais pour la remplacer par quelle autre civilisation ? La « civilisation » du matérialisme, du nihilisme, de l’hédonisme, autrement dit la « civilisation du néant », à moins que le dessein caché ne soit de faire place nette pour la « civilisation islamique » dont on peut déjà avoir une rassurante et joyeuse idée avec la charia. On retrouve dans ce programme destructeur tout le fanatisme des totalitarismes, surgeons monstrueux de 1793 et des dictatures modernes. Détruire l’ordre naturel établi, détruire l’ordre divin, détruire notre civilisation dont les racines sont chrétiennes mais aussi pré-chrétiennes qui sont leur cauchemar. Il est clair que tous les pays d’Europe sont « gouvernés » par des gnomes pétris de haine nous menant à ce néant qu’ils affectionnent tant, leur unique croyance. Et ce sont ces tristes, dérisoires et ignares bouffons qui ont la prétention de demander à l’Eglise catholique de se réformer, c’est à dire de se renier, de se soumettre aux modes, aux lois mortifères cogitées par leurs cerveaux malades. Molière, dans sa pièce « Les femmes Savantes », faisait dire à un de ses personnages « Quand sur une personne on prétend se régler, ce n’est point lui faire honneur  que de tousser et de cracher comme elle ». L’Eglise n’a pas à régler sa Foi, ses dogmes, ses lois sur celles des hommes, sur les modes éphémères, contraires à la loi divine, contraires à la loi naturelle qui en est aussi l’expression. Aucun risque que ne soit exigé de l’islam qu’il se réforme, pourtant s’il y a bien une « religion » qui a un besoin urgent de se réformer de fond en comble, c’est bien celle d’Allah et de son « prophète », mais si l’islam se réforme, édifié sur une gigantesque escroquerie spirituelle, il cesse d’exister, c’est pour cela qu’il est irréformable. Le « Mariage pour tous » est l’un des derniers actes pour conclure la révolution de Mai 68 et proclamer son « Credo », le célèbre « jouir sans entrave », et ainsi créer « L’homme nouveau », rêve de toutes les dictatures, et pour parvenir à cet « idéal », faire « table rase » de notre civilisation, de la famille, du mariage, le christianisme étant, comme jadis, le seul obstacle, la seule conscience qui empêche la réalisation de cette utopie. Et si on demandait à la République française « Une et Indivisible » de commencer par se réformer elle-même, comme par exemple renoncer à son jacobinisme historique en reconnaissant les particularismes régionaux plutôt que ceux des allogènes envahisseurs, d’être plus christianophile qu’islamophile, de réformer sa laïcité sectaire qui commence, un peu trop à se poser en nouvelle religion liberticide, de cesser de légiférer sur des lois mortifères. Il ne faut pas chercher plus loin la haine dont le mariage est l’objet, une haine dont le Pape Benoît XVI, pour en avoir rappelé la nature sacrée, a été la principale cible.
Cette haine semble avoir un « bel avenir » avec des lendemains  tragiques pour notre civilisation, nos patries, nos enfants, voire de persécutions contre l’Eglise, car par son enseignement elle est déjà hors la loi, donc susceptible de poursuites judiciaires, comme dans toutes les dictatures. Il faut s’attendre à ce que le nouveau pape, réputé pour être farouchement opposé au « mariage gay », à l’avortement, à l’euthanasie, devienne la nouvelle cible de cette haine(4). Il est donc nécessaire d’être lucide sur les enjeux profonds de cette réforme du mariage traditionnel, c’est bien la destruction de la famille avec toute sa sacralité filiale et identitaire, le statut de père et de mère qui sont en danger d’être remis en question. Une légitime interrogation : deux lois destructrices des peuples, l’avortement et le prétendu « mariage homosexuel » portent le nom de deux femmes, « loi Weil et loi Taubira » qui n’ont de cesse de nous mettre en toute occasion en avant le martyr de leur peuple, le génocide pour l’une, l’esclavage pour l’autre. Or, justement, parce que leur peuple a souffert de telle tragédie, elles devraient être les premières à combattre de telles lois, et à refuser qu’elles portent leur nom. Mais la haine qu’elles vouent à une civilisation qui ne semble en aucun point être la leur, leur fait perdre toute raison. Et c’est ce genre de femmes que l’on nous donne comme références, et à qui l’on décerne  tous les honneurs ; des « héroïnes » tout à fait conforme aux « valeurs » d’une République qui a tout du cadavre en putréfaction. (5).

 

ERWAN   HOUARDON


  1. Les 4 Vérités, 18 /24, quai de la Marne. 75164 PARIS cedex.
  2. «  Lettre de Choisir la Vie », N° du Ier trimestre 2013, éditorial de Cécile Edel présidente de cette association contre l’avortement.
  3. Idem
  4. Il semblerait que le nouveau pape, François, au nom d’une « église des pauvres » rompe avec tout le patient travail de Benoît XVI pour restaurer une belle liturgie dans la grande tradition de l’Eglise. La manière dont il a inauguré son pontificat ne laisse présager rien de bon. La référence à St François d’Assise, en l’instrumentalisant, risque d’être le prétexte à un nouveau détournement de la charité évangélique au profit de « toute la misère du monde », et tout particulièrement en faveur de l’immigration. Nous serons assez vite fixés sur la nature de ce pontificat, qui à peine commencé, a un relent des pires années postconciliaires qui ont vidées les églises. Issu de la génération formée à « l’école » du Concile Vatican II détourné, il passe pour rejeter la Tradition. La « théologie » de « l’Eglise des pauvres », qui a surtout appauvri spirituellement l’Eglise catholique, a été par le passé extrêmement destructrice.
  5. Une femme encore, Marisol Touraine, ministre de la Santé et des Affaires Sociales a annoncé le vendredi 1er mars la gratuité totale de « l’IVG » pour toutes les femmes, et de la contraception pour les mineurs de 15 à 18 ans, votée en octobre dernier, et qui entrerait en vigueur le 31 mars, c’est à dire le dimanche de Pâques. On « admirera » toute la symbolique : Pâques, jour de la Résurrection, de la vie, et ce même jour entrée en vigueur d’une loi mortifère supplémentaire. Décision d’autant plus scandaleuse que le gouvernement demande que nous nous serrions encore davantage la ceinture pour combler les déficits des régimes de retraites, justement dû à notre hiver démographique.



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